Bussus-Bussuel

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Bussus-Bussuel
Bussus-Bussuel
La mairie.
Blason de Bussus-Bussuel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Mathieu Doyer
2020-2026
Code postal 80135
Code commune 80155
Démographie
Gentilé Bussuellois
Population
municipale
302 hab. (2021 en diminution de 1,63 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 06′ 38″ nord, 2° 00′ 02″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 112 m
Superficie 8,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Bussus-Bussuel
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Bussus-Bussuel

Bussus-Bussuel est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Yaucourt-Bussus, Ailly-le-Haut-Clocher, Domqueur, Maison-Roland et Oneux.

Description[modifier | modifier le code]

Bussus-Bussuel est un village du Ponthieu dans la Somme, situé entre Saint-Riquier et Ailly-le-Haut-Clocher, en fond de la vallée du Scardon.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Le village est traversé par le sentier de grande randonnée GR 123, qui relie la forêt d'Hesdin à la forêt de Compiègne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Scardon, rivière qui traverse l'agglomération, peut à certains moments être franchi à pied sec mais cause parfois des inondations[1]. C'est un affluent du fleuve côtier la Somme.

Paysages[modifier | modifier le code]

Dans le cadre d’un projet porté par le syndicat mixte Baie de Somme 3 Vallées, un kilomètre de haies bocagères propices à la biodiversité et permettant de lutter contre l'érosion est planté en 2018 sur les chemins autour de Bussus-Bussuel, sur huit sites différents[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bussus-Bussuel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,2 %), prairies (7,8 %), zones urbanisées (5,7 %), forêts (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 131, alors qu'il était de 132 en 2013 et de 118 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87 % étaient des résidences principales, 7,7 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bussus-Bussuel en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,8 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Bussus-Bussuel en 2018.
Typologie Bussus-Bussuel[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 87 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,7 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 5,4 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Bussus est attesté sous les formes Buxeium en 704[15] ; Bixis en 855[15] ; in Buxude en 856[16] ; Buxionus en 960[15] ; Buxudis vers 1088[16] ; Buxudis villa en 1088[15] ; Bussiacum en 1184 ; Busseium en 1224 ; Bussu en 1260 ; Buyssu en 1301 ; Buchu en 1638 ; Bossu en 1707 ; Bussu-Bussuel en 1763; Bussy en 1781 ; Bussus en 1850[15].
Du latin buxus « buis » et du suffixe latin -utum, celui de corn - utus, qui est devenu le suffixe collectif -othu en Flandre ; « (lieu) pourvu de buis »[16].

La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Bussus Bussuel, prend en 1801 celui de Bussu ou Bussus, avant de prendre sa dénomination actuelle de Bussus-Bussuel en 1956[17].

Bussuel est une dépendance de Bussus-Bussuel attesté sous les formes Buchuel en 1476 ; Bussuelle en 1701 ; Bussuel en 1701 ; Bussuelles en 1766[18].
Bussuel est le diminutif de Bussus avec la terminaison diminutive el[19] ; « Petit (lieu) pourvu de buis ».
Ces doublons pour désigner les dépendances d'une paroisse sont fréquents dans la Somme : Rambures/Ramburelles, Sailly/Saillisel, Saleux/Salouel, Bussus/Bussuel, etc.

Bussus-Bussuel est un toponyme pléonastique avec un redoublement signalant deux toponymes voisins ayant la même origine et la présence d'un village et d'un hameau.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention du village de Bussus, en 704, fait état d’une seigneurie et du fief d’Emimont, appartenant à la prestigieuse abbaye de Saint-Riquier. Le domaine était administré, pour le compte de l’abbaye, par des clercs laïcs[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au début du XIXe siècle, le village se développe. On construit alors une école de filles en 1867, puis une école de garçons et la mairie en 1878[1].

Jusqu'en 1952, une église commune avec le village de Yaucourt se tenait dans le cimetière. Elle a complètement disparu.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Fusion de communes[modifier | modifier le code]

Face à la difficulté de trouver des candidats pour gérer la commune de Yaucourt-Bussus, sa municipalité envisage depuis les élections municipales de 2020 une fusion avec Bussus-Bussuel et a engagé en 2023 des pourparlers en ce sens, et qui nécessiteront, s'ils aboutissent, à une consultation publique avant la création d'une commune nouvelle[20].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d’Ailly-le-Haut-Clocher[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Rue

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bussus-Bussuel était membre de la petite communauté de communes du Haut-Clocher, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
attesté en octobre 1792[21]   M. Lebrun    
mai 1798 vers août 1816 Honoré-François Lebrun[Note 3],[21]   Propriétaire cultivateur à Bussus
Agent municipal de mai 1798 à juin 1800 puis maire
août 1821 septembre 1861 Louis-François Lebrun[Note 4],[21]   Propriétaire cultivateur à Bussus, neveu de Honoré François Lebrun.
Mort en fonction
         
  avant 1940 Victor Pruvot    
         
1971 1995 Jeannine Decoëne[22]    
         
  2001 Jacques Firmin[23]    
mars 2001 2008 Michel Luce    
mars 2008[24] En cours
(au 6 juin 2023)
Mathieu Doyer   Cadre de la fonction publique
Vice-président de la CC Ponthieu-Marquenterre (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Au classement du concours des villes et villages fleuris, après avoir obtenu Deux fleurs en 2013, la commune est primée au niveau Trois fleurs en 2019, qui récompensent les efforts locaux en faveur de l'environnement et du fleurissement[26].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2010, l'école ferme. Les élèves du village se rendent à l'école intercommunale Becquestoile de Saint-Riquier où un regroupement pédagogique concentré a été construit[27].

Télécommunications[modifier | modifier le code]

Après avoir été de longues années une « zone blanche » pendant de longues années, Bussus-Bussuel est relié en 2022 au réseau de téléphonie mobile 4G grâce à l'installation d'une antenne pour le compte des quatre opérateurs français[28].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

La salle de réception et de spectacle La Tondellière, où se sont produits jadis Mike Brant, Annie Cordy ou C. Jérôme, est rénovée en 2017[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 302 habitants[Note 5], en diminution de 1,63 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
493510548599565616652648649
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
610604568560527470450412412
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
375343318282253266247275266
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
249248220221223247264312299
2021 - - - - - - - -
302--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Un spectacle son et lumière, « Le Dernier Moulin d’Erix », est organisé par l'association de jeunes de Bussus-Bussuel Les Z’Hironloins[33] le pour rappeler l'histoire du moulin Vaillant-Tellier, restauré en 2023[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Michel[35],[36]. L'édifice, tout en brique, a été bâti en 1897, pour bénéficier d'un lieu de culte, tout comme le village voisin de Yaucourt-Bussus.
  • Le moulin Vaillant-Tellier du XVIIe siècle. À cet emplacement, situé sur la route reliant Bussus-Bussuel à Ailly-le-Haut-Clocher et en réalité à Yaucourt-Bussus[20] trois moulins étaient présents jusqu'au début du XIXe siècle[1].
    Après avoir été donné à la commune par l'héritière du dernier meunier, Monique Tellier-Bezoc, trois campagnes de restauration, dont la dernière s'est achevée en 2023 sous la direction de l'architecte belge Eric Vanleene, ont permis de remettre en état l'édifice et de le doter de ses ailes qui peuvent à nouveau tourner[37],[38].
  • La chapelle d'Hémimont du XVIe siècle. Dépendant initialement du château de Yaucourt[20] et primitivement construite à l'endroit où se trouvait un petit temple gallo-romain, elle a été endommagée plusieurs fois : tornades, troupes allemandes en 1941 et reconstruite en 1982. De très anciens graffitis sont alors remis en évidence[1].
  • La ferme abbatiale avec son mur d'enceinte et sa mare.
  • La chapelle funéraire, route de Gorenflos. Un ancien maire de la commune y est inhumé[39].
  • La plaque funéraire de Philippe Carette (1551-1631), seigneur de Bourny, Fressa, Cornehotte, Rigauville... et de son épouse Marguerite de Ribaucourt (1555-1628), anciens habitants notoires de Bussus, qui se trouve dans l'entrée de l'église du village et qui est classé au patrimoine historique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Johann Duhaupas (né en 1981), boxeur poids lourd français, est domicilié à Bussus-Bussuel.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bussus-Bussuel Blason
D'argent à la bande de sable chargée de trois coquilles d'or posées à plomb.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Honoré-François Lebrun est électeur censitaire dans la liste des 600 contribuables les plus imposés du département de la Somme de l'an XI et des 550 de 1810[21].
  4. La fortune de Louis-François Lebrun est évaluée en revenus à 2.000 francs en 1821, 7.000 en 1826, 2.000 en 1834[21]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Dépliant en format Pdf, lire en ligne.
  2. « Les chemins ruraux de Bussus-Bussuel vont retrouver leurs haies : Un kilomètre de haie va être planté sur les chemins autour de Bussus-Bussuel, dans le cadre d’un projet porté par le syndicat mixte Baie de Somme 3 Vallées », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Bussus-Bussuel et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d et e Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 186 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 335.
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 187 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  19. Jean-Baptiste Jouancoux, Études pour servir à un glossaire étymologique du patois Picard, vol. 1, , p. 265.
  20. a b et c Olivier Bacquet, « Et si Bussus-Bussuel et Yaucourt-Bussuel ne formaient plus qu'une seule et même commune… : Les municipalités de Yaucourt-Bussus et Bussus-Bussuel ont entamé une réflexion qui pourrait aboutir à un mariage des deux villages, et la création d'une commune nouvelle », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. a b c d et e Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 566 p. (lire en ligne), p. 245.
  22. Jacques Dulphy, Un mariage aux douceurs de Chine, le Courrier picard, édition Picardie maritime, 29 juillet 2015, p. 11.
  23. « Bussus-Bussuel », sur le site http://www.quielire.fr/ (consulté le ).
  24. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  25. Johann Rauch, « Ponthieu-Marquenterre : Qui à la tête de l’intercommunalité… : Focus sur la nouvelle gouvernance de l'intercommunalité Ponthieu-Marquenterre… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mathieu Doyer, maire de Bussus-Bussuel depuis 2008 et précédemment vice-président aux affaires touristiques ».
  26. Olivier Bacquet, « Bussus-Bussuel entre dans le cercle fermé des villages "3 Fleurs" : Le palmarès des villes et villages fleuris des Hauts-de-France est dévoilé ce lundi après-midi à Abbeville. Parmi les gagnants : Bussus-Bussuel, qui décroche sa troisième Fleur », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 22 septembre 2015, p.12.
  28. Olivier Bacquet, « Zone blanche : après plus de 10 ans de galère, les téléphones portables sonnent enfin à Bussus-Bussuel : Jusqu'à ces derniers jours, le village était une zone blanche en termes de couverture mobile. Les démarches se sont multipliées depuis une décennie pour régler le problème », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Olivier Bacquet, « La foule des grands jours pour saluer la renaissance de la Tondellière à Bussus : Mike Brant et Annie Cordy y ont chanté… La salle de la Tondellière, à Bussus-Bussuel, a été entièrement refaite à neuf. Les projets n'y manquent pas », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Olivier Bacquet, « C'est quoi Les Zhironloins, ce groupe au drôle de nom à Bussus-Bussuel ? : Les Zhironloins, des jeunes mobilisés depuis leur plus tendre enfance à Bussus-Bussuel, se lancent. Découvrez les projets de ce groupe au drôle de nom », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Olivier Bacquet, « Les 1 000 places ont été vendues pour le son et lumière au moulin de Bussus-Bussuel : Plus de deux mois avant le rendez-vous, fixé le 23 septembre au moulin de Bussus-Bussuel, le son et lumière organisé par la jeune association des Z'Hironloins affiche déjà complet », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Clochers.org
  36. 40000clochers.com
  37. Yann Defacque, « Le moulin de Bussus-Bussuel a retrouvé ses ailes lors d'un chantier magistral : Retour en images sur la pose des ailes du moulin de Bussus-Bussuel sous le regard attentif et admiratif de plusieurs habitants et du maire Mathieu Doyer », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Olivier Bacquet, « A Bussus-Bussuel, le moulin a retrouvé ses ailes, pour le bonheur des anciens : Les doyens ont assisté à l'inauguration du moulin Vaillant-Tellier, qu'ils ont connu enfants à l'état de ruines. Après trois campagnes de restauration, il a retrouvé ses ailes », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 78 (ASIN B000WR15W8).